Depuis que mon métier d'exécutrice de vampires m'amène à me colleter avec des méchants de tout poil, Edward est un peu mon Batman : il débarque en ville, il me sauve la mise et il disparaît.
Le reste du temps, c'est assassin si froid et si dangereux qu'on l'a surnommé la Mort. Mais j'ai une dette envers lui. Alors quand il m'appelle en renfort dans une mystérieuse affaire de meurtres et de mutilations en série, je n'ai pas d'autres choix que de prendre le premier avion pour le Nouveau-Mexique.
Où je ne tarde pas à découvrir que mon adversaire de la semaine est peut-être un dieu d'un panthéon oublié, rien que ça! Mais le plus étonnant, c'est quand même d'apprendre qu'Edward est sur le point de sa marier...
Même si Anita n'avait pas le choix, elle savait que contracter une dette auprès d'Edward n'était pas une bonne idée. Pourquoi ? Parce qu'Edward est un tueur à gages et que, malgré le fait qu'Anita est ce qui se rapproche plus d'une amie pour lui, être appeler pour lui donner un coup de main signifie que la situation est grave, très grave…et pas forcément qu'il l'épargne. Après tout, il a toujours rêvé de savoir qui était le meilleur.
C'est ainsi qu'Anita se retrouve dans un avion pour Santa Fe pour aller honorer sa dette. C'est la version officielle d'Edward, Ted Forrester, qui vient la chercher à l'aéroport accompagné de sa fiancée et des enfants de celle-ci...
Les surprises ne s'arrêtent pas là, bien au contraire. On croirait que le Nouveau-Mexique s'amuse à ses dépends : des victimes écorchées vives, un vampire qui se prend pour un dieu, un nain nécromancien...
Bienvenue dans la vie d'Edward et n'oubliez pas de sourire !
Un livre pour les fans d'Edward ! Une enquête palpitante loin de St Louis et des personnages habituels. Ici, c'est Edward et rien qu'Edward. Et un livre est tout juste suffisant pour pénétrer le mystère qu'il représente, on va de surprises en surprises.
Anita : elle ne voit plus ses hommes depuis la fin de "Blue Moon". Sa visite chez Edward la fait réfléchir sur le sens qu'elle est en train de donner à sa vie. On découvre qu'elle a passé beaucoup de temps avec Marianne qui lui a appris à contrôler le munin et à mieux comprendre les choses "psychiques". Elle arrive à venir à bout d'un vampire très puissant sans l'aide de personne ce qui la fait réfléchir encore plus sur ce qu'elle est et ses capacités. Elle repartira en connaissant mieux Edward mais en ne sachant toujours pas quoi faire la concernant.
"Mais il savait que je le savais, et il pouvait s'en servir pour me donner un faux sentiment de sécurité. Ou pas."
(Anita parlant d'Edward)
"Il ne manquait qu'un néon au-dessus de leur tête pour annoncer que ces trois-là étaient des ennuis sur pattes."
(Anita)
"-Te rends-tu compte que ta vie amoureuse est plus compliquée que la mienne, à présent ?
- Oh oh. Là je sais que je suis dans la merde. "
(Anita et Edward)
"Edward était un peu comme Batman: il débarquait en ville, il me sauvait la mise et il disparaissait. Une invitation à dîner dans la Bat Cave ne faisait pas partie du service. Et, à présent, j'étais plantée devant son repaire. Cool."
(Anita parlant d'Edward)
"-Et merde, Edward ! Si tu n'arrête pas de me coller des cinglés comme partenaires, je serai obligée de les buter l'un aprés l'autre et j'aurai une dette envers toi jusqu'à ma mort."
(Anita à Edward)
"C'est vrai que ma frustation sexuelle commençait à atteindre un niveau stratosphérique, mais ..."
(Anita)
"-Son décolleté est trop plongeant, protesta Olaf.
Je jetai un coup d'oeil éloquent à sa chemise transparente.
- Je vois tes tétons.
Son visage s'assombrit. De colère ou d'embarras ?
-Salope.
-C'est celui qui dit qui est, répliquai-je avec une moue boudeuse.
Edward s'interposa entre nous. il calma Olaf, puis se tourna vers moi.
-Si tu ne veux pas d'ennuis, ne le provoque pas.
-C'est lui qui a commencé.
Il nous toisa tout deux d'un air glacial."
(Anita , Olaf et Edward)
"J'avais déjà mon content de léopards-garou masos à la maison."
(Anita)
"-A mon avis, le fabricant ne les a pas testées sur des cibles vivantes à bout portant.
-En tout cas ça fait de jolies trous.
J'acquieçai.
- Une pièce de un cent à l'entrée, une pizza pour deux personnes à la sortie."
(Anita et Edward en parlant de leurs munitions)
"On aurait aussi bien pu leur tatouer "qui s'y frotte s'y pique" sur le front."
(Anita)
"Il ne ronfle pas, ne monopolise pas les couvertures et me laisse lui faire autant de câlins que je veux sans jamais protester. C'est plus qu'on ne peut en dire de beaucoup d'homme."
(Anita parlant de Sigmund)
"- Moi je trouve ça injuste d'être puni parce que Olaf est un psycopathe, protesta Bernardo
- Si je ne peux pas satisfaire mes besoins, pourquoi en aurais-tu le droit ? lança Olaf.
Je secouai la tête.
- Edward tu peux me dire où tu trouves tes renfots ?
- Au même endroit où je trouve mes chasseuses de vampires et mes nécromanciennes
Evidemment, vu sous cet angle..."
(Anita, Olaf, Bernardo et Edward)
"Ma vie privée est un fiasco"
(Anita)
"Marks était déjà prêt à me chasser de la ville. Si j'avais commencé à parler d'âmes qui flottaient sous le plafond, il aurait été chercher un poteau et des alumettes."
(Anita)
"- merde alors poupée. Je suis doué mais pas à ce point. Je ne suis qu'un pauvre mortel. Je ne peux pas rivaliser avec un homme-loup et un seigneur des morts-vivants."
(Bernardo à Anita)
"-Après 48 heures passées à bosser sur cette affaire avec moi, si vous ne vous êtes pas encore rendu compte que je ne suis pas parfaite, c'est que vous ne faites pas assez attention."
(Anita)
"D'un geste sec, il (Edward) arracha à la fois le sparadrap et l'aiguille.
-Aïe !!
Il sourit.
-Mauviette.
-Sadique, répliquai-je."
(Anita et Edward)
"-Vous avez 40 points de suture dans le dos.
- Bigre. c'est un record, même pour moi."
(Anita)
"Je deteste ces filles qui se plaignent d'être grosses alors qu'elles font du 36. En dessous de 36, vous n'êtes plus une femme : vous êtes ujn garçon avec des seins."
(Anita)
"Ainsi harnachée je devais ressembler au sapin de noël d'une famille de terroristes."
(Anita)
"-J'espère que le monstre t'éventrera, pétasse.
-C'est mademoiselle Pétasse pour toi, rétorquai-je."
(Anita)
"Massacrer ce qu'on ne connaît pas est une tradition chez les Européens. Moi vois bestiole, moi tue bestiole. En tant que philosophie, ça a le mérite de la simplicité."
(Anita)
Merci à Envy pour les répliques
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